Je vois le matin mourir
Dans le douloureux espoir ,
De ne pouvoir tuer ma faim
Par le savoir faire de mes mains ,
Le sombre nuage qui monte de l'horizon
Me remplit de larme, couché sur le paillasson,
Dont le doux confort
Contraste avec mon sort.
Je rêve d'un lendemain meilleur
Qui paierait aux mains le prix du labeur ,
Je rêve d'un lendemain qui porterait
En lui la joie d'un bonheur parfait ,
Je rêve d'un lendemain qui assure
La paix dans un monde qui rassure
La joie de vivre est innée en nous
Et à l'appel de la mort nous sommes sourd
Mais peu importe car nulle part
Nul être n'a jamais décidé de son départ.………………